« Pourquoi éclairons-nous des œuvres nées pour être admirées à la lumière naturelle, tout au plus sous la lumière de quelques bougies ou d’une lanterne ? En portant la lumière sur ces œuvres, il existe toujours un risque de les falsifier et de dénature leur philologie. Ce n'est qu’en connaissant les méthodes et les intentions de l'artiste qu’il est possible de trouver les significations et de raconter éventuellement une histoire à travers la lumière. C’est le thème de la photo-graphie, c’est-à-dire de l’écriture avec la lumière. C’est précisément ce que nous avons essayé de faire dans la coupole de la Cathédrale de Plaisance, construire un récit nous permettant de comprendre et de penser que la lumière n'est pas seulement vision, mais aussi communication, émotion et enchantement ».

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